Puis, à partir de 1966, en passant par toutes sortes d’expressions et de techniques (gouache, panda, etc.) ma peinture devient plus construite, les pâtes sont travaillées en épaisseur, non sans laisser de côté les glacis et les effaçages (repentirs).

Ainsi le paysage « Maquis » (n°5), la gouache « Voiles à Barcelone » (n°7), « Pieta » (n°8), œuvre qui s’inspire d’un sentiment religieux très poussé, « Portrait de jeune femme » (n°20), très en pâtes, « Nature morte aux poissons » (n°21), très en pâte également avec un contraste de blanc, « Paysage » (n°22), « Nature morte aux deux pommes » (n°23) où dominent également un fort contraste de blanc et des repentirs, « Nu féminin debout » (n°24), « Nature morte au violon » (n°31), « Paysage au figuier » (n°39), « Arbres » (n°40), « Scène de pub » (n°48), « Christian lisant » (n°51), « Paysage » (n°53), « Madame TOLLARI » (n°54), « Maman assise sur la terrasse » (n°56), « Paysage en Côte d'Or » (n°57), « Le géographe » (n°68), « Les musiciennes » (n°69), « Nature morte bleue » (n°71) où dominent les empâtements, les transparences et les glacis, « Le bas reusais » (n°73), « Portrait d'enfant » (n°74), « Portrait de jeune femme » (n°75), « Atmosphère de cellier - Dijon 21000 - Dessin au crayon » (n°79), « Homme assis » (n°91), « Femme debout » (n°92), « Femme assise » (n°93), « Nature morte grise » (n°94).

Il est à noter que toutes les œuvres citées ci-dessus sont des huiles sur toile, à l’exception de « Maquis » et « Voiles à Barcelone ».

Les formats dans leur ensemble varient notablement, mais il est à noter que cela ne dépasse pas le 50 F (environ 1m * 0,80 m).